Mon fils, comme j'aime à le dire, a commencé sa scolarité cette année, à l'âge de 4 ans et demi, donc en grande section directement.
L'école n'étant pas pour nous le seul moyen d'eveiller nos enfants et de les ouvrir à la découverte, je me suis chargée jusque là de lui apprendre les premières bases.
C'est donc une grande première cette année.
Allez, je vous la montre!
Bon évidemment, je n'ai pas demandé l'autorisation de tous les concernés à jouer les stars sur internet, c'est donc de jolis visages violets que vous voyez, et mon fils entier en haut à gauche.
J'adore cette école.
Elle représente tout ce qu'on recherchait, de la disponibilité pour les élèves, de la place pour tous le monde, et des activités pas forcément communes à toutes les écoles.
Ce qui permet de faire tout ça, c'est que sur la photo sus présentée, il n'y a pas que la classe de mon p'tit pirate, mais toute l'école maternelle, de la toute petite à la grande section.
En fait, il n'y a que 7 grande section, dont la maitresse, très gentille, compréhensive et à l'écoute des élèves, s'occupe les après-midi, indépendemment des autres élèves, qui font la sieste pour les uns ou sont avec l'Atsem pour les autres.
Ce qui fait que tous les élèves suivent, que les retardataires sont decelés de suite, que les activités sont choisies en fonction des goûts de chacun, bref que l'apprentissage scolaire tourne autour d'eux exclusivement en fonction de ce qu'est chaque enfant.
D'ailleurs, on voit clairement la différence de niveau par rapport à des écoles aux nombres d'enfants surchargés.
Ma Barbie Chérie est entrée en CM2, donc en primaire l'an dernier, et provenait d'une école de 300 élèves.
Elle est passé de 25 élèves en classe de CM2 a 6 tous ronds;
Eh bien, je vous le dit, on voit la différence!
Elle qui était classée dans la courbe haute dans son ancienne école, s'est retrouvée dans les moyens ici. (il n'y avait pas de niveau faible)
La pauvre a dû mettre les bouchées doubles pour rattrapper son retard, puisqu'il lui manquait près de 200 ans en histoire et plusieurs leçons dans les autres matières.
Et c'est pareil pour la grande section où la maîtresse m'expliquait qu'ils allaient aborder en fin d'année, le début du programme de CP car ils auraient largement le temps.
Alors quand nos amis nous demandent pourquoi on s'est enterrés, et si ça ne nous dérange pas de faire autant de route pour aller en ville (comme si la ville était une fin en soi, et quand bien même ça ne nous a jamais fait peur, on est du genre y descendre juste pour aller manger un croque-monsieur), et bien, même si eux ne le comprennent pas, on regarde nos enfants et se dit qu'on a fait le bon choix.